Wife training

Since time immemorial, one of the great problems facing menfolk has always been the delicate task of wife schooling.
Because like puppies, wives need to be trained.
Many have warned me that it is not an easy undertaking, but experts say that it can be done.

At the beginning of a formalized relationship, wives are close to perfection (or so it seems), but as time goes by, they adopt a more relaxed attitude and their behavior can become erratic, bordering sometimes on the lunatic.

For a man, there is no question that cupboards should remain shut, kitchen counters clean, daily used utensils settled in permanent niches, and bras and panties not lollygagging around the bathroom.
When this fails to happen, it is obvious that corrective action needs to be taken.

Two methods are available: discipline training or rewards training.
I tried to discipline my wife, but it didn’t work.
I spanked her a few times, but she seemed to enjoy it. No good.

A few days ago, I was watching a documentary about Border collie training and I noticed that the handler had a little pouch hooked to his belt.
Each time the puppy did something right, the trainer dug into his pouch and offered him a treat.
The puppy wagged his tail approvingly.

So here is the god-sent solution.

First of all, you need to determine what kind of treat your wife likes.
It could be French pastry, caviar or smoked oysters, but for practical purposes you should pick something solid.
Mine likes chocolate. So chocolate it will be.

Here is the Modus Operandi:
I will fill up the little pouch with chocolate tidbits, and each time she does something right I will feed her a morsel.
I might have to spend a fortune on chocolate, but it is an experiment worth trying.

Animal trainers have been raving about this system for a long time.
I don’t see why this would not work with housewives.

To be continued…

Alain

 

Morning stroll

IMG_6463 - Version 2Crunch of dead leaves
Weeds swaying in the wind
Smell of freshly cut grass
Murmuring stream
Diffuse light piercing treetops
Flies dancing in sunlight beam
Thoughts swaying in my head
Morning silence
Nature at peace

Aahhhh…

Les “jeunes”

Je n’habite plus en France depuis longtemps mais je souffre de lire et d’entendre ce qui se passe dans le pays où je suis né et dans lequel j’ai passé mon enfance.

Je suis entre autres fatigué d’entendre parler des “jeunes” et de leurs méfaits.
Je suis fatigué de tous ces euphémismes pudiques que l’on emploie maintenant si communément en France.
Tout le monde sait que ces « jeunes » dont parlent les journaux sont des voyous, des malfrats souvent issus de l’immigration.
Personne n’est dupe.
Alors pourquoi ne pas appeler un rat un rat ? Pourquoi essayer de masquer le coté peu ragoûtant de ces inadaptés avec un vernis de compassion?

Tous les adolescents ne sont heureusement pas des voyous, alors faisons la distinction entre les jeunes délinquants et les juvéniles respectueux de la loi et des coutumes du pays dans lequel ils vivent.
Un adolescent n’est pas forcément un voyou, mais un « jeune » des « zones sensibles » a de très fortes chances de l’être.

Je ne veux plus entendre parler de « jeunes » et de « zones de non-droit ».
Je veux que l’on parle crûment de fripouilles et de quartiers soumis (sous le couvert d’une religion mafieuse) à la coupe de quelques caïds.

Quoique les « bleeding hearts » veuillent en dire, les « jeunes des banlieues » n’ont pas d’excuses pour se conduire comme des hors-la-loi.
La pauvreté n’a jamais été synonyme de banditisme. Au contraire.
Le manque de structure familiale par contre, mène très certainement a la délinquance.

Mais le laxisme et la réticence des autorités en place à confronter ce fléau contribuent à la prolifération de cette délinquance.
Si les « jeunes » ont un sentiment d’immunité, ils continueront très certainement leurs méfaits.
Tous comme les « favelas » de Rio, les « banlieues » sont devenues des lieux d’incubation d’un banditisme toujours plus virulent.
Les « zones sensibles » sont devenues des bouillons de culture propices à des dérives Salafistes comme nous venons d’en faire l’expérience à Boston.

Qu’elles le veuillent ou non, les autorités françaises (certainement pas une Gauche impotente) devront un jour confronter une délinquance juvénile de plus en plus imbue d’une dangereuse ferveur extrémiste.

Plus le pouvoir atermoiera, et plus la tâche sera difficile.

Alain